Le kendo se pratique sur un plancher de bois offrant un certaine élasticité. Les kendokas ont les pieds nus.

En kendo, chaque combattant doit allez « couper » avec la partie valable de son arme (le shinaï), une des parties protégées de son adversaire. Les coupes fondamentales portent le même nom que les protections :

• à la tête – men
• à l’avant bras – kote
• au flanc – do

S’ajoute à ces 3 actions de “taille” une “pique” tsuki de la pointe du shinaï sur la protection de la gorge.

 

Dans l’assaut libre, les adversaires qui se tiennent face à face, les pointes des armes croisées, vont essayer mutuellement de se porter une action valable. Dans les attaques, les frappes peuvent se succéder et se combiner jusqu’à obtenir le point gagnant (ippon).

Du débutant à l’expert, une règle identique gère la validité des actions délivrées. Pour être reconnue valable, un assaut doit associer dans une même séquence gestuelle :

• un cri qui exprime l’énergie
• une action avec la partie valable de l’arme sur une partie valable des protections
• une action de tout le corps, en général un déplacement équilibré

A travers une parfaite harmonie du corps, de l’esprit et du sabre, le Kendoka réalisera ce coup unique qui le rend instantanément vainqueur.

Discipline du corps et de l’esprit, la pratique du Kendo ne demande pas d’aptitudes particulières, elle s’adresse à toutes et à tous, et se commence à tout âge. ssim pharetra.